tribuneCERN 2025-02-25

Tribune CERN - savoir renoncer au projet de méga collisionneur

A l’heure de l’urgence écologique, est-il encore souhaitable de développer et de financer des infrastructures de recherche scientifique énergivores, coûteuses, délétères pour l’environnement et les populations, et aux retombées scientifiques incertaines ? C’est la question que nous discutons ici, en prenant pour exemple le projet de FCC (Future Circular Collider) porté le CERN. Une tribune signée par plus de 400 scientifiques a été publiée par Libération. Une version longue de nos réflexions, publiée sur notre blog Mediapart est reproduite ci-dessous, ainsi que la liste complète des signataires.

Contexte

Le CERN (organisation européenne pour la recherche nucléaire), à la frontière franco-suisse, est le plus grand centre international de recherche en physique des particules. Il a été créé en 1954 avec 12 états-membres, et en compte actuellement 24. Sa plus grande infrastructure actuelle, le LHC (Large Hadron Collider), est un anneau circulaire enterré de 27 km de circonférence qui a permis en 2012 de démontrer l’existence du boson de Higgs, une particule responsable de la masse de toutes les particules élémentaires constituant la matière. Aujourd’hui, le CERN défend un projet visant à construire un tunnel beaucoup plus grand, de 90 km de circonférence, destiné à héberger successivement deux équipements qui fonctionneraient jusqu’à la fin du siècle : le FCC-ee (2045-2070) et le FCC-hh (2070-2095).

L’étude de faisabilité de ce projet, en cours depuis 2021, doit se terminer au printemps 2025. Le CERN a commencé à communiquer auprès du grand public, notamment auprès des habitant·e·s de la région concernée par l’éventuelle construction, à savoir Genève, le pays de Gex et la Haute-Savoie, suscitant la réaction de collectifs comme Co-CERNés, ou Noé21 qui a élaboré une contre-expertise détaillée. La décision du lancement du projet sera prise par les états membres du CERN en 2027-2028, pour une mise en chantier envisagée dans les années 2030. Il existe actuellement un projet concurrent, lancé par la Chine, les États-Unis ayant annoncé qu’ils n’en construiraient pas un sur leur territoire mais seraient prêts à s’impliquer dans une future « usine à Higgs » ailleurs.

Un projet démesuré

Le CERN était jusqu’à récemment particulièrement discret quant au FCC, mais dorénavant la transparence est de mise sur l’ensemble des aspects techniques, ce qui permet de mesurer le gigantisme du projet dont le coût de construction est estimé à 16 milliards d’euros (pour la seule phase FCC-ee). Les défis sont considérables, avec 16 millions de tonnes de matériaux à excaver et stocker en surface, un passage du tunnel sous le lac Léman dans une région sismique, une consommation énergétique évaluée à 1,4 TWh/an en moyenne pour la seule phase FCC-ee et 4 TWh/an (l’équivalent de la consommation de presque 2 millions de Français, ou un peu moins de 1% de la production électrique française) à pleine puissance en phase FCC-hh, nécessitant un refroidissement hydraulique à la hauteur. Le collisionneur engendrerait de fortes émissions de CO2 sur l’ensemble de son cycle de vie, dont le chiffrage en millions de tonnes ou dizaines de millions de tonnes reste à établir. Enfin, l’extraction des quantités gigantesques de métaux nécessaires aurait des impacts indirects dans les pays fournisseurs : dommages humains, environnementaux et sociaux, le plus souvent irréversibles, avec une large emprise temporelle et géographique.

Pourquoi construire le FCC ?

Selon les physicien·nes défendant le projet, le FCC, projet-phare du CERN, s’inscrit dans une stratégie reposant sur « un plan visionnaire et concret qui permette de faire avancer de manière importante la connaissance humaine dans le domaine de la physique fondamentale ». La construction de cette infrastructure permettrait d’éprouver le Modèle Standard – la théorie décrivant actuellement le comportement des particules élémentaires – dans des gammes d’énergie qui n’ont jamais été atteintes jusqu’à présent. Tout résultat expérimental qui dévierait de cette théorie indiquerait la nécessité d‘une nouvelle théorie. Ces expériences permettraient également de mieux comprendre le Big Bang.

Du point de vue épistémologique, le FCC serait un objet bien différent du LHC. Son prédécesseur avait pour objectif de finaliser la validation expérimentale du Modèle Standard, en découvrant dans un domaine d’énergie où l’on s’attendait à le trouver - s’il existait - le boson de Higgs, dernière particule du modèle qui restait à observer. Ce qui se passe dans le domaine des plus hautes énergies est bien plus incertain : si des théories actuelles envisagent l'existence de nouvelles particules, l'énergie nécessaire pour les produire est incertaine. Il est tout à fait possible que, dans les expériences qui seraient réalisées au FCC, le Modèle Standard soit vérifié, sans autre découverte. Si les attentes scientifiques reposent pour l’instant sur des spéculations, le FCC aurait en revanche des impacts écologiques et sociaux bien réels à court terme.

Un pari risqué

Les promoteurs du FCC, dont la construction et l’exploitation s’étaleraient sur plusieurs décennies, escamotent un certain nombre de risques. Le premier est d’ordre financier. A ce stade l’Allemagne, un des principaux contributeurs du CERN, juge le plan de financement extrêmement vague et a exprimé ses réticences à s’y associer. De plus, l’histoire des grandes infrastructures est jalonnée d’importants dépassements budgétaires : le LHC a par exemple vu son coût final augmenter de 50% par rapport au budget initial ; l’expérience de fusion nucléaire ITER voit son budget à mi-parcours multiplié par trois par rapport aux estimations initiales ; avant d’être abandonné au cours de sa construction, le projet américain cousin du LHC (le SSC pour Superconducting Super Collider) avait vu son budget prévisionnel plus que doubler. Par ailleurs, les équipements du FCC nécessiteront des quantités considérables (non divulguées à notre connaissance) de métaux critiques. Le cuivre illustre très clairement la menace : son prix a augmenté de 130% l’année dernière face à la forte demande, et l'American Copper Council prédit une multiplication par plus de 15 dans la prochaine décennie, alors qu’en parallèle l’IFPEN estime que 78 à 89% des ressources connues seront consommées d’ici 2050 afin de se conformer aux politiques climatiques de production d’énergies renouvelables. Dans de telles conditions, il paraît hasardeux d’équilibrer un budget en supposant que le prix du cuivre ne va pas s’envoler, et que l’offre permettra de satisfaire la demande de tous les acteurs.

Plus généralement, nous entrons dans une période d’incertitude pour nos sociétés, leur stabilité et les conditions de vie : réchauffement climatique, ravages écologiques, tensions sur l’énergie et les ressources, hausse des rivalités régionales, paupérisation des classes moyennes, explosion des dettes publiques et hausse des populismes rendent les projections sur l’avenir plus hypothétiques que jamais. Le FCC s’inscrit mieux dans le paradigme de croissance continue et de stabilité géopolitique que dans un régime chaotique, hypothèse d’autant plus hardie au regard des échéances longues du projet, de quelques décennies pour la phase FCC-ee, au-delà de 2070 pour la phase FCC-hh. Il n’est donc pas inconcevable que la première étape, le FCC-ee, soit aussi la dernière, et que le reste du projet soit abandonné, alors que l’ensemble des dépenses et des dommages liés à sa construction resterait bien réel.

Des justifications qui peinent à convaincre et font diversion

Les réponses des communicant·es du CERN aux différentes objections formulées sur ce projet peinent à convaincre car elles témoignent d’une pensée en silo, qui ne tient pas compte du contexte général d’urgence écologique. Prenons le seul exemple de la consommation énergétique. Des énergies renouvelables y pourvoiront, nous dit le CERN ? Outre le fait que leurs impacts environnementaux et sociaux ne sont pas nuls, cette ressource énergétique est aussi limitée : si elle est destinée au FCC, elle n’alimentera pas de trains, de pompes à chaleur ou d’autres infrastructures nécessaires à la transition énergétique. Des progrès technologiques diminueront la consommation ? C’est possible, mais la consommation restera élevée dans l’absolu malgré les efforts. Qu’importe, nous dit-on, la chaleur produite par les installations sera valorisée pour chauffer des logements. Pourtant, les résultats des études commanditées par le CERN pour la seule phase FCC-ee sèment le doute sur cette possibilité : déphasage entre production et demande, faible densité linéaire de chaleur produite, taux de valorisation médiocres, stockage énergétique complexe. Malheureusement, il est plus probable que les TWh annuels du FCC soient en grande partie refroidis par des eaux de surface qui seront ensuite partiellement évaporées ou réinjectées en surface, à moins que le refroidissement n’opère en circuit fermé.

Conscient·es d’une pertinence scientifique de niche et de son coût faramineux, les dirigeant·es du CERN sont tenté·es de justifier leur projet auprès des financeurs et des politiques en invoquant des bénéfices collatéraux. C’est ainsi que, lors de la présentation publique du projet, Raphaël Bello, directeur des finances et des ressources humaines du CERN, mobilise des justifications comme le rayonnement touristique (avec la construction d’un grand musée destiné à attirer du public et à servir de vitrine aux travaux du CERN), les retombées économiques, la formation, la concurrence et le leadership… De tels arguments ne tiennent pas. Prenons le cas de l’emploi : l’invoquer permettrait de justifier n’importe quelle activité (construction de plateformes pétrolières, élevage industriel…), quel que soit son impact écologique. Le tourisme, quant à lui, participe de façon de plus en plus alarmante aux émissions de CO2. Quant à la défense du leadership, l’idée de gagner une course avec la Chine depuis son annonce du projet concurrent CEPC nous semble contraire à l’esprit de coopération qui devrait animer la communauté scientifique : si l’objectif est vraiment d’apporter des connaissances fondamentales en physique, qu’importe si ces découvertes sont faites en Chine ou en Europe.

Un projet de research-as-usual

Les appels des scientifiques spécialistes du climat et de la biodiversité sont clairs : il nous faut rapidement et immédiatement réduire nos émissions de gaz à effet de serre, ainsi que nos impacts sur le vivant. Ces recommandations ont été traduites par des accords internationaux comme l’Accord de Paris ou par des politiques européennes visant à un arrêt de l’artificialisation des sols. De plus en plus de scientifiques considèrent que la recherche doit faire sa part dans cet effort, comme le montre le succès des propositions du collectif Labos 1point5, les réflexions qui émergent en astrophysique ou en Sciences de la Terre, ou les prises de position des comités d’éthique d’organismes de recherche. Comme dit dans la prospective CNRS en physique, il n’y a aucune raison que la physique des particules reste en dehors de l’introspection à laquelle est conduite la communauté scientifique.

Allons-nous continuer la recherche ?

Le cas du CERN et de la physique des particules démontre, avec le projet du FCC, les contradictions qui traversent le monde scientifique en général : comment pourrions-nous demander une réduction radicale des impacts écologiques des activités humaines en maintenant nos activités scientifiques, en toute inconséquence ? Pour autant, nous n’appelons pas seulement à un devoir d’exemplarité ou de cohérence. Puisque la réorientation ou le ralentissement de telles activités de recherche ne mettent en péril aucune activité vitale, la recherche constitue un excellent terrain d’expérimentation des transformations nécessaires partout ailleurs. Le CERN a démontré pendant des décennies une très grande créativité et développé d’extraordinaires capacités, à la fois techniques et en termes de coopération internationale. Nous ne doutons pas qu’il puisse se réinventer et proposer d’ambitieux projets alternatifs au FCC, soit en exploitant différemment les infrastructures actuelles, soit en s’investissant dans d’autres objectifs scientifiques plus directement liés aux crises environnementales.

Questionner le FCC ouvre ainsi la boîte de Pandore et rejoint les interrogations formulées par Alexandre Grothendieck. Considéré par beaucoup comme le plus grand mathématicien du XXe siècle, il donnait en 1972 au CERN une conférence iconoclaste, intitulée « Allons-nous continuer la recherche ? ». A cette époque, Grothendieck s’inquiétait surtout des applications militaires de la recherche. Aujourd’hui les impacts environnementaux, par leurs effets directs (les infrastructures) ou indirects (ses applications), s’y adjoignent naturellement parce que ces dommages sont dans les deux cas conçus comme des externalités de la production scientifique, alors qu’ils sont bel et bien consubstantiels de la production scientifique contemporaine.

Il ne s’agit pas d’appeler à cesser toute forme de recherche fondamentale, mais plutôt de questionner ce qui est pris pour une évidence : l’idée qu’une recherche « pure », noble, justifierait la mise à disposition de tous les moyens que ses spécialistes jugent appropriés, sans que les citoyen·nes ordinaires ne participent à la décision. Est-il judicieux d’allouer au fonctionnement du FCC une énergie équivalente à celle d’un petit réacteur nucléaire quand la décarbonation énergétique est à la peine ? Est-il pertinent d’allouer autant de moyens financiers et humains au FCC alors que de larges pans de la recherche directement en prise avec l’urgence écologique - en particulier dans les sciences humaines et sociales - sont ignorés, et que le projet lui-même va contribuer à la destruction du vivant ? Si les humains ont la sagesse dans les décennies qui viennent de prendre des décisions permettant d’éviter de rendre la terre inhabitable, notre espèce aura encore des dizaines de millions d’années devant elle pour tenter d’élucider les premières microsecondes suivant le Big-Bang. Ou peut-être que cette parcelle de connaissance nous restera à jamais inaccessible, et qu’il nous faudra réussir à l’accepter ?

Un appel à la réflexion collective

Le CERN organise actuellement des réunions d’information au sujet du FCC, mais sans que son bien-fondé y soit questionné. Pourtant, il nous semble que les discussions autour de l’opportunité de ce projet et, plus largement, la réflexion sur la recherche scientifique à l’heure de l’Anthropocène, concernent l’ensemble des citoyennes et citoyens. Nous, scientifiques, pensons qu’il faut savoir renoncer au FCC jusqu’à la résolution de la crise environnementale, afin de prendre le temps d’une réflexion collective et élargie sur l’ensemble des enjeux soulevés par ce projet, mais aussi au-delà, sur la place de la science dans la société viable, équitable et conviviale que nous souhaitons voir éclore.

Liste complète des signataires:

ACHACHE Jean-Jacques, Médecine, Hôpital
ACHIN Catherine, science politique, Université Paris Dauphine-PSL
AGUILA-MULTNER Gabrielle, Linguistique, Université de Zurich
ANDRE François, Biophysique, Université Paris-Saclay
ANDRÉ Stéphane, Science des Matériaux, Université de Lorraine
ANTOINE Adélie, Ecologie marine, CNRS - Sorbonne Université
ANTON Jean-Luc, Neuro-imagerie, CNRS
ARIAGNO Coline, Geomorphologie, Université de Rennes
ARIZA Matthieu, Santé environnement, UPJV
ASPE Chantal, Sociologie, Université d'Aix-Marseille
AUBERTIN Catherine, Economie de l'environnement, IRD
AYATA Sakina, Écologie, Sorbonne Université
BABOU Igor, Sciences de l'information et de la communication, Université Paris Cité, Ladyss (UMR 7533)
BAGUET Ludivine, Santé animale, Liberale
BALADI Viviane, Mathématiques, CNRS (retraitée)
BAR-HEN Avner, Statistique, Cnam
BARATAUD Fabienne, Géographie sociale, INRAE
BAROT Sébastien, Ecologie, IRD
BEAUFILS Eliane, Etudes théâtrales, Université Paris 8
BEDOIN Maxime, Neurosciences, analyse de données, Télécom SudParis - IPP
BEIGBEDER Joana, Science des matériaux, IMT Mines Alès
BELINE Fabrice, Agronomie, INRAE
BELTRAMO Massimiliano, Neurobiologie, INRAE
BENDIAB Nedjma, Physique, université Grenoble Alpes
BENOIT Alain, Physique, CNRS
BERAT Jack, Astrophysique, Université Paris-Cité
BERGER Nicolas, Mécanique, Université de Bordeaux
BESSEAS Franck, Networking, France Nature Environnement
BESSET-MANZONI Yoann, Ecologie Microbienne, ISARA
BESSON Myriam, Dynamique et Physique de l'Atmosphère, LMD ENS
BICHON Emmanuelle, Chimie Analytique, Oniris, Inrae, LABERCA
BIENVENÜE Alexis, Mathématiques appliquées, Université Lyon 1
BIERJON Antoine, Modélisation du climat, hydrologie, IPSL/CNRS
BIGÉ Alexis, Mathématiques appliquées, CEA
BILLEN Gilles, Biogéochimie, CNRS/Sorbonne-Université
BLAISE Séverine, Economie politique, Université de la Nouvelle-Calédonie
BLANC Guillaume, Physique, IJCLab/Université Paris Cité
BLANC Helene, Médecin environnemental, ULB
BLANC Lilian, Ecologie, CIRAD
BLANC Xavier, Mathématiques, Université Paris Cité
BLANCHARD Cyrille, Astronomie & astrophysique, CNRS
BLOCH Noam, Hydraulique, CNRS - Université Grenoble Alpes
BLONDEL Jacques, Biologie, CNRS
BODIN Xavier, Géographie, CNRS
BOEGLIN Laure, Ecophysiologie Végétale, INRAE
BONIFACE Stéphanie, Sciences du climat et de l'environnement, CNRS
BONNEFOY Léa, Planétologie, LMD, Sorbonne Université
BONNEVILLE Jean-Marc, Biologiste, CNRS_UGA, Laboratoire d'Ecologie Alpine, Grenoble
BORTOLAMIOL Sarah, Géographe, CNRS - UMR 7533 LADYSS
BOUCHARAT Yannick, Sciences de la Terre, CNRS
BOUCHARD Sébastien, Informatique, Bordeaux INP
BOUCHET Marie, études américaines, Université Toulouse 2
BOUCHET Nicolas, Aucune, Aucune
BOUCHET Pierre, Ecologie, Doctorant
BOUCHET-VALAT Milan, Sociologie, Ined
BOULOUIS Alix, Biologie, Sorbonne Université
BOULÊTREAU Stéphanie, Ecologie aquatique, CRBE, Université de Toulouse
BOWEN Martin, Physics, IPCMS CNRS U. de Strasbourg
BREVIER Julien, Physique, Université de Limoges
BRIENS François, Economie - Prospective, Sans affiliation
BRUN Florent, Sciences de l'ingénieur et de l'environnement, Leesu - ENPC
BRUNIE Hugo, Computer Science: High Performance Computing / Calcul Haute Performance, Université Grenoble Alpes (UGA) / Grenoble Alpes University
BRUNOIS -PASINA Florence, Anthropologie sociale, CNRS
BUFF Xavier, Mathématiques, Institut de Mathématiques de Toulouse
BURGAUD Hannah, Physique, Ecole Normale Supérieure ENS-PSL
BURGISSER Alain, Earth Sciences, CNRS
BURMEISTER Wim, Biophysics, Université Grenoble Alpes
BÉRARD Annette, écologie microbienne, INRAE
BÉTERMIN Laurent, Mathématiques, Université Claude Bernard Lyon 1
CAMPARGUE Alain, 23 rue Henri Barbusse, CNRS
CAPITAINE Gaëlle, Métrologie et océanographie, LNE
CARDEY Bruno, Chimie théorique, UMR 6249 - Laboratoire Chrono-environnement
CARDOSO Jean-François, Science des données, CNRS
CARRERIC Aude, Sciences du climat, Barcelona Supercomputing Center
CARREY Julian, Physique, INSA Toulouse
CARTRON Damien, sociologie, CNRS
CASSAIGNE Julien, mathématiques, CNRS (Marseille)
CASSAM Patrick, Chimie quantique, CNRS
CAUVY Sophie, ECOLOGY, INRAE
CAVALLO Delphine, Sciences humaines et sociales, AMU
CAVÉ Jérémie, Ecologie territoriale, IRD
CEPAS Olivier, physique, Institut Néel, CNRS
CHAGNAUD Guillaume, Hydro-climatologie, UKCEH
CHAMBAT Frederic, Physique de la Terre, ENS de Lyon
CHAMPOLLION Cédric, Géosciences, GM / UM
CHAMPOLLION Nicolas, Glaciologie, Institut des Géosciences de l'Environnement
CHARANSONNET Alexis, Histoire, Université Lumière Lyon 2
CHARLES Hubert, Biologie, INSA-Lyon
CHARRIER Guillaume, Biologie, INRAE
CHARRON Aurelie, Sciences de l'Atmosphère, Université Gustave Eiffel
CHASSÉ Mathieu, Géosciences, Sorbonne Université
CHATELAIN Matthieu, Physique, Laboratoire de physique de l'ÉNS de Lyon UMR 5672
CHAVASSE-FRÉTAZ Etienne, Mécanique des fluides, CEA Saclay
CHERUY Frederique, climat, CNRS
CHEVALIER Mathieu, Ecologie, ifremer
CHEYNIER Rémi, Immunologie/virologie, Inserm U1016
CHIFFAUDEL Arnaud, Physics of Complex Systems, Formerly CNRS (1988-2012)
CHIKHI Lounes, Génétique des populations, CNRS
CILIBERTO Giorgio, quantum information physics, LIP6
CILIBERTO Sergio, Physics, Ecole Normale Supérieure de Lyon and CNRS
CLAIR Bruno, Biomécanique de l'arbre et sciences du bois, DR CNRS
CLAVEL Joanne, Humanités environnementales - Geographie, CNRS
CLOUET D'ORVAL Béatrice, Biologie, CNRS
COADOU Solange, Océanographie, Laboratoire de Météorologie Dynamique
CODRON Francis, Physique du Climat, Sorbonne Université
COKE Maïra, Ecologie et Ecotoxicologie, INRAE
COLLARD Damien, Sciences de gestion et du management, Université Marie et Louis Pasteur
COLOGNI Romane, Astrophysique, UMR 8262
CONSIGLIERE Stefania, anthropologie, Università degli Studi di Genova (Gênes, Italie)
COPIN Yannick, Cosmologie, Université Claude Bernard Lyon 1
CORIAT Mickael, Astrophysique, IRAP
CORNILLON Francoise, Biochimie, université Grenoble Alpes
COUILLET Romain, Traitement du signal, informatique, mathématiques appliquées., Université Grenoble-Alpes
COUSIN Samuel, Chimie-Physique, CNRS
CRUZ DE CARVALHO Helena, Biologie, UPEC/IBENS
DA FONSECA Marie, Sciences de Gestion - CNU 06, UPVD
DARÉ Anne-Marie, Physique, Aix Marseille Université
DAUBIN Vincent, Biologiste Evolutioniste, CNRS
DE MONTE Silvia, modélisation pour la biologie, CNRS
DEBRAS Florian, Astronomie-Astrophysique, CNRS
DEBUIRE Eric, Medecine, Medecin
DELMOTTE Montaine, Agroécologie, INRAE - doctorante
DELULLIER Pierre, Optique-Physique, Amphenol-Socapex
DENEIRE Luc, Traitement de signal, Université Côte d'Azur
DENOYELLE Corinne, Langue et littérature médiévales, Université Grenoble Alpes
DERIJARD Benoot, Ecologie marine, Université Côte d'azur
DESBORDES Timothé, Neuroscience, INT
DESCHAMPS Anne, Sciences de la Terre, CNRS
DESCLAUX Dominique, Agronomie, INRAE
DESROSIERS Sophie, anthropologie, EHESS-CRH
DIATSENTOS Petros, Histoire, Aix-Marseille Université
DIEUDONNÉ Maxime, Neuro-imagerie, CNRS
DIEUDONNÉ Stéphane, Biologie, Inserm
DOBRIJEVIC Michel, Astrophysique, Université de Bordeaux
DOERFLINGER Erik, géophysique, CNRS
DOLÉAC Stéphane, Océanographie, LOCEAN-IPSL
DORN Jeanne, histoire de l'art, Université Paris Nanterre
DOUET Brice, physique, LPENSL
DOYA Valérie, Physique, Institut de Physique de Nice/ Université Côte d'Azur
DRUMARE Laetitia, Doctorante en géosciences, ISTerre - CNRS
DUCHARNE Agnès, Hydrology, CNRS
DUDRAGNE Liébaut, BioInformatique, Sorbonne université
DUFFAUT Carine, Epidémiologie, Inserm
DULLIER Dorian, Kinésithérapeute, SER
DUPAIGNE Louis, mathématicien, Université Claude Bernard Lyon 1
DUPARC Alexandre, médecin, cardiologue, CHU Toulouse
DUPONT Léonard, Biologie (Écologie), CNRS
DURIF Anne, Climate and Artificial Intelligence, CNRS/IGE
DUVAUCHELLE Yannick, Sociologie, Chercheur associé à Mesopolhis
DÉBARRE Delphine, Physique, CNRS
DÉMERY Vincent, Physique statistique, Gulliver, ESPCI Paris et CNRS
EISSEN Ariane, Littérature comparée, Université de Poitiers
ELFJIVA Lara, Anthropologie, Ehess / CNRS
EMPERAIRE Laure, botanique, IRD émérite
ENCLOS Philippe, droit privé, SNNESUP-FSU
ESCARAVAGE Nathalie, Ecology, University Toulouse
ESCARGUEL Gilles, Macroécologie, Université Lyon 1
EVEN Catherine, physique, Université Paris-Saclay
FAUDRY Eric, Biologie, CEA
FAURE François, Machine learning pour les geosciences, Institut des Sciences de la Terre - Université Grenobles Alpes
FAVRE Luc, Physique, Aix-Marseille Université
FEDERSPIEL Brigitte, Retraité Inrae, ?
FEGER Guillaume, météorologie, cnrs
FERRACHAT Sylvaine, Sciences de l'atmosphère, ETH Zurich
FERRARI Sylvie, Economie, Université de Bordeaux
FIRDION Jean-Marie, sociologie, CNRS
FISCHER Ophélie, hydrologie, CNRS
FLEURY Sara, Science l'Environnement, CNRS/INSU
FOIX Océane, Sismologie, UGA
FORIEN Nicolas, Mathématiques, Université Paris-Dauphine
FORIEN Raphaël, Mathématiques, INRAE
FOUGÈRES Anne-Laure, Mathématiques, Université Lyon 1
FOUJOLS Marie-Alice, Sciences du climat, IPSL, CNRS, Sorbonne Université
FOURCAULT William, Optical engineer, CEA
FRESCHET Grégoire, Ecologie Environnement, CNRS
FREYSSINGEAS Eric, Physique, ENS de Lyon
FRISON Gilles, Chimie, chercheur
FROISSART Rémy, Biologie évolutive, CNRS
FRÉROT Irénée, Physique, CNRS
FUMANAL Boris, Ecologie, Université Clermont Auvergne
GALLOT-LAVALLÉE Olivier, Transdiciplinaire (situé Physicien Electricien), Univ. Grenoble Alpes
GANSTER Patrick, Physique des Matériaux, Mines Saint-Etienne
GARDIN Jean, géographie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
GARGIULO Floriana, Complex system, Cnrs
GAUWIN Olivier, Informatique, Université de Bordeaux, LaBRI
GAY Paul, informatique, université de Cergy
GENTIL Ivan, Mathématique, Institut Camille Jordan
GERBER Sophie, Génétique et philosophie des plantes, Inrae
GIBAND David, Urbanisme, UPVD
GIRALDO Santiago, Histoire, CREDA UMR 7227
GODFROY Matthieu, Agronomie, INRAE
GOMIS Elsa, Études cinématographiques, Institut Convergences Migrations
GONDRAN Alexandre, informatique, ENAC, Université de Toulouse
GOSSET Dominique, Physique des matériaux, CEA, retraité
GOUGOU Florent, science politique, Sciences Po Grenoble - UGA
GOUZE Jean-Luc, Mathématiques appliquées, Inria
GRAND-CLÉMENT Adeline, Histoire, Université de Toulouse / laboratoire PLH
GRANGET Cyrille, Sciences du langage, Université Toulouse Jean Jaurès
GRISILLON Jim, Chimie de l'atmosphère, CNRS, Aix-Marseille université
GUEDJ Axel, Ingénieur d'étude en sciences atmosphériques, CNRS
GUERIT Laure, ST, CNRS
GUIMBRETIERE Guillaume, Physique & Géographie, CNRS
HABIB Michel, Informatique, Université Paris Cité
HAGIMONT Steve, Histoire, Sciences po Toulouse
HANNE Marie-Elise, Médecin, retraité
HANTOVA Stefaniya, microbiologie, Hydrosciences Montpellier
HATCHUEL Françoise, Sciences de l'éducation, Université Paris Nanterre
HECTOR Basile, Hydrologie, IRD
HES Gabriel, Sciences de l'environnement, CRBE
HOLLARD Antoine, Mathématiques, Professeur honoraire en classe préparatoire aux grandes écoles d'ingénieurs
HUEBER Eric, Génie Informatique, Automatique et Traitement du Signal, Université de Haute-Alsace
HUNEAU Bertrand, Matériaux, Ecole Centrale de Nantes
HUPÉ Jean-Michel, écologie politique, CNRS
HURAUT Martin, Géologie, Géochronologie, Sédimentologie, Stratigraphie, Doctorant, ISTerre, UGA
HUSSON Laurent, Earth Sciences, CNRS
HUVER Emmanuelle, Sciences du Langage, Université de Tours
HUYS Raoul, Ecology, Behavioral neurosience, Theoretical and Experimental Ecology Station (SETE), CNRS
HÉLY Christelle, Environnement, Ecole Pratique des Hautes Etudes
ICHIR Evan, Physique, Laboratoire de physique de l'ENS Lyon
JARDÉ Emilie, Géosciences, CNRS
JARKAS Latifa, Theoritical Physics, ENS de Lyon Physics Lab
JARRIER Romain, Bureau d'études, Sorbonne université
JAUGEY Caroline, Ecologie, INRAE
JAUNET Vincent, Mécanique des Fluides, ISAE-ENSMA
JEAN Kévin, Epidémiologie, Ecole normale supérieure - PSL
JENSEN Pablo, physics, CNRS - ENS de Lyon
JONDREVILLE Catherine, Agronomie, INRAe
JOREL Corentin, Microélectronique, CNRS/Unicaen
JOUAN Alexis, Physique, ESPCI
JOUNIAUX Laurence, Sciences de la terre, CNRS
JOURNET Etienne-Pascal, Agronomie, CNRS (retraité)
KNÖDLSEDER Jürgen, Astrophysique, IRAP / CNRS
KUPPEL Sylvain, hydrologie, IRD
LABROUSSE Sara, Ecologie, LOCEAN/CNRS
LAFAILLE Julien, Études des Organisations, Grenoble École de Management
LAMBERT Amaury, Mathématiques, Ecole Normale Supérieure (PSL)
LAPORTE Marine, Géophysique, LGL-TPE Université Claude Bernard
LAURENT Bihel, ESS, Hangar Zéro
LE BRUN Pierre, Géographie, UMR 7300 ESPACE
LE GOC Marc, Informatique, Aix Marseille Université
LE ROUX Sébastien, Computational material science, IPCMS - CNRS
LEBLANC Frédérique, Statistiques, Université Grenoble Alpes
LEBLOIS Raphael, Ecologie-Evolution, INRAE
LEBONNOIS Sébastien, Planétologie, CNRS/Sorbonne Université
LECOLLE Michelle, sciences du langage, Sorbonne nouvelle
LECONTEE Amelie, sciences du langage, Aix-Marseille Université
LEDOUX Barnabé, Biophysique, ESPCI
LEFEVRE Julien, Informatique, Aix-Marseille Université
LEGRAND Gauthier, Physique, LP ENS de Lyon (PhD), IDEAE CSIC Barcelona (postdoc)
LEHMANN Benjamin, Géosciences, CNRS
LEHOUCQ Roland, Astrophysique, CEA
LENTENDU Guillaume, Ecologie microbienne, University of Neuchâtel, Switzerland
LESAGE Philippe, Sciences de la Terre, Université Savoie Mont Blanc
LESPARRE Nolwenn, Hydrogéophysique, CNRS Institut Terre et Environnement Strasbourg
LHOSTE Evelyne, shs, inrae
LONGCAMP Marieke, Neurosciences, Aix-Marseille Univ
LORCERY Manon, Geology-Biology, PhD
LOUP Christophe, chimie analytique, UMR6249
MAILLARD Pascal, Mathématiques, Université de Toulouse
MALLET Loïs, Philosophie, Université Paris Cité - LCSP
MANNEVILLE Sébastien, Physique, Ecole Normale Supérieure de Lyon
MANSUY-HUAULT Laurence, Géochimie, Université de Lorraine
MARC Odin, Earth Sciences, CNRS
MARGUERITE Arthur, Physique, CNRS
MARIE Guillaume, Géographie, Université du Québec à Rimouski
MARIS Valentine, Physique mathématique, ENS de Lyon
MARKHOFF Béatrice, Informatique, Université de Tours
MARON Valentin, Didactique de la physique, Université Toulouse Jean Jaurès
MASSON Anne-Sophie, Biologie des Interactions, INRAE
MAZAT Lise, Medecin, Pas d’affiliation
MAZET Olivier, Mathématique, Institut de Mathématique de Toulouse
MAZOUZ Sarah, Sociologie, CNRS
MEILHOC Eliane, Biologie, INSA Toulouse
MEISSONNIER Joel, SOCIOLOGIE, MATRiS
MELLET Sylvie, Linguistique, CNRS - BCL (retraitée)
MEMERY Laurent, Biogéochimie - océanographie, CNRS (LEMAR, Brest)
MENAND Thierry, Sciences de la Terre, Université Clermont Auvergne
MERCIER Manuel, Neuroscience Cognitive, Inserm
MERINDOL Rémi, Physique, L2C_CNRS
MINNAERT Clothilde, Sciences de la Terre, ENS de Lyon
MOKHTARI Marwane, Cosmochimie, ENS de Lyon
MONMARCHÉ Nicolas, informatique, Université de Tours
MONTAGNON Clara, Physique, ENS de Lyon
MONTE Michèle, Sciences du langage, Université de Toulon
MONVOISIN Richard, Didactique des sciences, Université Grenoble Alpes
MORIN Maxime, Lettres Modernes, Université de Lille
MOULIN Sabine, Droit, USMB
MOURET Hugues, Entomologie - Naturaliste, ARTHROPOLOGIA (NGO)
MOUSSA Jamal, chimie, sorbonne universite
MOUSSARD Delphine, Mathématiques, Aix-Marseille Université
MOUTTAPA Gabriel, Océanographie, Institut de Géosciences de l'Environnement
MUNOZ Marguerite, Géosciences et Environnement, ex-CNRS
NACIRI Marwan, Ecologie, CEFE - UMR 5175
NAERT Antoine, physique, ENS Lyon
NAVARRETE Mireille, Agronome, INRAE
NEGRE Erwan, Physique, Centre de Physique des Particules de Marseille, UMR 7346 - Aix-Marseille Université - CNRS/IN2P3
NEGRE Simon, Géochimie, Chimie physique, théorique et analytique
NGUYEN Noel, Sciences du langage, Aix-Marseille Université
NGUYEN VAN THE Lionel, Mathématiques, Université d'Aix-Marseille
NICAISE Ghislain, Cell biology, Professeur émerite Université Nice-Côte d'Azur
NODET Maëlle, Mathématiques, Université de Versailles
NÉE Patrick, Littérature française des XIXe-XXIe siècles, Université de Poitiers
OLIVA Anais, Geomatique, INRAE
OLIVI Martine, Mathématiques appliquées, Inria
OM Deborah, Physique médicale, Hôpital Européen Georges Pompidou
OTERO Olga, Paléontologie-Evolution, Université de Poitiers - UMR CNRS-UP 7262
PAGANI Laurent, Astrophysicist, CNRS
PAJUELO Pierre, Physique, ENS Lyon
PANTHOU Geremy, Hydrologie/Climatologie, UGA
PAPACONSTANTINOU Arietta, Histoire, Aix-Marseille Université
PASCAL Timothée, Physique des particules, Laboratoire de physique subatomique et de cosmologie (LPSC)
PASTIER Anne-Morwenn, Sciences de la Terre, LaROUSTe
PECQUEUX Anthony, Sociologie, CNRS
PEREZ Grégoire, Écologie, CIRAD
PERHIRIN Margaux, Plancton & export de carbone, LOCEAN 6SU
PERRICHON Gwendal, Géologie, Université Claude Bernard Lyon 1
PERRIN Julie, Arts, Université Paris 8 Saint-Denis
PERRIN Laurent, Biologie, CNRS
PERROTTON Arthur, Social-ecological modelling, CIRAD
PERSSON Tomas, Mathematics, Lund University
PETITCOLAS Fabien, Informatique, signé en nom propre
PETITJEAN Patrick, Astrophysique, Institut d'Astrophysique de Paris
PEUGEOT Christophe, Hydrologie, IRD
PIEROZAK Isabelle, Sciences du langage, Université de Tours
PIRES Mathias, Botanique, INRAE LESSEM
PISTRE Séverin, Hydrosciences, Université Montpellier
PITON Guillaume, Géosciences, INRAE - IGE
PLATEL Valentin, Pharmacologie, Université de Rouen Normandie
PLEZ Bertrand, Astrophysique, Université de Montpellier
POIZAT Jean-Philippe, Physique, CNRS
PONGE Jean-François, Ecology, Muséum National d'Histoire Naturelle
POULAIN Cedric, Physics, CEA France Grenoble
POULLE Marie-Lazarine, Ecologie, Université de Reims Champagne Ardenne
PRUDHOMME Nathalie, Psychologie, Aix-Marseille Université
PY Dominique, Informatique, Le Mans Université
RACIMO Fernando, Evolutionary biology, University of Copenhagen
RAGUET Hugo, Informatique, INSA Centre-Val de Loire, Université de Tours
RIGOTTI Aurélien, Géoméchanique, CNRS (UGA)
RIOU Laurent, Mécanique / Particules, IP2I / IN2P3
ROBERT Xavier, Sciences de la terre, IRD
ROCHANGE Soizic, Biologie, Université de Toulouse
ROCHE Philippe, physique, cnrs
RONCHAIL Josyane, Climatologie, LOCEAN -IPSL
ROSCILDE Tommaso, Physique, Ecole Normale Supérieure de Lyon
ROTH Marie Cécile, Retraitee, Les Écologistes
ROULLET Guillaume, Océanographie physique, LOPS, Université de Brest
ROULLET Marion, Science des matériaux, CNRS
ROUX Chloé, Ecologie - Evolution, INRAE
ROUX Guillaume, Physique, Université Paris-Saclay
ROUX Hélène, Médecine Générale, 0
RUBENTHALER Rubenthaler, Mathématiques, Université Nice-Sophia Antipolis
RUSSEIL Valentin, Agronomie, Inrae
SALIES Evens, Economie, Sciences Po
SALMON Loic, Biophysique, CNRS
SALORT Julien, Physique, CNRS
SANTOLINI Jérôme, Biochimie, CEA
SARRET Géraldine, Sciences de l'environnement, CNRS
SASSOLAS Fabien, Bioinformatique, ENS de Lyon
SAUT Olivier, Mathématiques, CNRS
SAUTREY Guillaume, Chimie analytique et biophysique, Université de Lorraine
SCAGLIONE Lorenzo, Mathématiques, doctorant, Institut Camille Jordan
SCHOSSELER François, Physique, CNRS
SEBBAG Mireille, Recherche Médicale, INSERM
SERAFIN Alice, Biologie, INSERM
SERIS Magali, geochimie, LABORATOIRE la doua
SERRU Théo, Sciences Informatiques, IETR
SERVIEN Rémi, Biostatistique, INRAE
SIMATOS Florian, Mathématiques appliquées et aviation durable, ISAE SUPAERO
SIMON Gilles, instrumentation, CNRS
SIMONIN Matthieu, Informatique, Inria
SIRAMI Clelia, Ecologie, INRAE
SOLAZZO Max, bap C, Sciences de l’ingénieur et instrumentation scientifique, CNRS
SOLOPERTO Sofia, environmental toxicology, university
SOPHIE Labrut, Vétérinaire pathologiste, LABOCEA
STARON Lydie, Sciences de l'Ingenieur, CNRS - Sorbonne Université
SZCZUBELEK Luc, Assistant ingénieur chimie analytique, ONIRIS
SÉBASTIEN Léa, Geographie, Université Toulouse II
TESTART Jacques, Biologie, INSERM (DR honoraire)
TEULIÈRES Laure, Histoire, Université Toulouse Jean Jaurès
THIBAULT Hélène, Océanologie, MIO
THIEBAUT Virginie, Géographie, Universidad Veracruzana, Mexique
THOLLARD Franck, Informatique, CNRS
THOLLOT Joelle, informatique, Laboratoire Jean Kuntzmann
THÉLOT Jérôme, Littérature française, Université Lyon 3 Laboratoire Marge
TOURNIER Raphaël, Geosciences, UGA
TOURON Nathalie, neurosciences, éducation nationale
TRAMOY Romain, Sciences de l'environnement, Université Paris Est Créteil
TRIQUENEAUX Sébastien, Physique, CNRS
TROTIGNON Jérôme, Economie, Université Lyon 3
UTTENWEILER Sandrine, Biologie, CNRS
VAILLANT Zoe, geographie, univ. Paris Nanterre
VALCKE Sophie, Modélisation du climat, CERFACS
VALENTIN Constance, Physique, CNRS/CELIA
VARLET Vivian, Géographie, Université Montpellier
VERCELLONE Carlo, Sciences de l'information et de la communication, CEMTI-Université Paris 8
VERLEY Gatien, Physique, Université Paris Saclay -- IJClab
VERNET Anne-Laure, Arts, Université de Lorraine
VERNIER Aline, Physique des plasamas, Ecole Polytechnique
VIALLON Magalie, MR physics, CREATIS UMR5220 INSERM 1294 / CHU de Saint-Etienne
VIDAL Manuel, Neurosciences, CNRS
VIEU Laure, Linguistique et Informatique, IRIT - CNRS
VILLANI Cédric, mathématique, Université Claude Bernard Lyon 1 & Académie des sciences
VILLERS Corinne, biologie, caen
VINCENT Marie, médecine, CHU Nantes
VIVIER Marlysa, Physique, ENS de Lyon
WARLOP François, Agronomie, Grab
WEINMANN Dietmar, Physique, CNRS
WOLFF Robert, Neuroscience, Istituto Italiano di Tecnologia (IIT)
YBERT Sébastien, Chef de projet, Ifremer
ZIMMER Alexis, Histoire environnementale, Université de Strasbourg - Université de Liège
ZOTIAN Elsa, Ingénieur d'étude shs, Openedition